Richard « Dick » Foley
« La première course sur la ferme famillial »
En 1953, les frères Foley firent leurs débuts en tant que pilotes à la piste Bouvrette Speedway de St-Jérôme ainsi qu’au Drummond Speedway, un des plus anciens tracés du Québec qui était situé sur le boulevard Bernard à Drummondville. Il s’agissait d’ovales d’un demi-mille en terre battue qui sont passés à l’histoire et démolis depuis une cinquantaine d’années. Voyant l’intérêt et les belles performances de ses deux fils, le paternel a acheté un terrain d’une dizaine d’arpents borné par la Rivière des Prairies et le boulevard Lévesque en face de sa ferme avec l’intention de construire une piste de course dans le but de voir de plus près évoluer ses deux fistons.
L’année suivante, Richard a cumulé les fonctions de promoteur et pilote au Rawdon Speedway, un tracé de terre battue situé à environ 80 kilomètres de Montréal. Durant les entractes, Richard avait retenu les services de Georges Griffiths, un audacieux cascadeur qui, au volant d’un bolide, s’adonnait à traverser des murs de feu ou d’épaisses colonnes de glace. Ce genre de spectacle était bien apprécié par la foule. Georges est décédé le 18 avril 2009. Ce populaire cascadeur et pilote de course était l’époux de sa sœur Sylvia.
À l’automne 1956, Richard avait un projet pour la construction d’un ovale asphalté d’un tiers de mille avec inclinaison de 18 degré dans ses courbes. Il a contacté son ami Johnny Major, vu que ce dernier était à l’époque en étroite collaboration avec un bureau d’architectes. Une fois les plans et devis complétés ils en ont fait part au père de Richard, afin qu’il puisse en étudier tous les atouts
L’année suivante, Richard a cumulé les fonctions de promoteur et pilote au Rawdon Speedway, un tracé de terre battue situé à environ 80 kilomètres de Montréal. Durant les entractes, Richard avait retenu les services de Georges Griffiths, un audacieux cascadeur qui, au volant d’un bolide, s’adonnait à traverser des murs de feu ou d’épaisses colonnes de glace. Ce genre de spectacle était bien apprécié par la foule. Georges est décédé le 18 avril 2009. Ce populaire cascadeur et pilote de course était l’époux de sa sœur Sylvia.
À l’automne 1956, Richard avait un projet pour la construction d’un ovale asphalté d’un tiers de mille avec inclinaison de 18 degré dans ses courbes. Il a contacté son ami Johnny Major, vu que ce dernier était à l’époque en étroite collaboration avec un bureau d’architectes. Une fois les plans et devis complétés ils en ont fait part au père de Richard, afin qu’il puisse en étudier tous les atouts
Durant l’été 1958, Richard accompagné de son père Richard sr. et d’un ami du nom de Johnny Fasciano ont rencontré Bill Frances en Floride dans le but d’obtenir une franchise NASCAR à Montréal. Ils en ont profité par la même occasion pour aller visiter le Super Speedway de Daytona, qui était en construction.
Ces deux prestations lui ont valu, en 1959, d’être le premier et le seul Canadien à être invité à la prestigieuse course que l’on a surnommée «The Great American Race». En raison de problème mécaniques, Richard n’a pas été en mesure de se qualifier et a été contraint d’avoir recours à la course de la dernière chance. Il avait à se mesurer à des adversaires de taille dans cette ultime confrontation. Parmi ceux-ci, on remarquait Fireball Roberts, Buck Baker, Curtis Turner, Tim Flock, Jack Smith et de nombreux autres. Après avoir manœuvré de brillante façon il a terminé en quatrième position. Suite à ce bon résultat, Richard s’est vu décerner la 44e place sur la grille de départ, composée de 59 partants, dans ce fameux Daytona 500. Occupant la quatrième position après 70 passages, Richard qui était aux commandes d’une Chevrolet 1959 portant le numéro 66, a dû entrer aux puits en raison d’un problème de surchauffe. Vingt minutes plus tard, il est revenu sur la piste pour terminer 32e devant de valeureux pilotes tels que ; Richard Petty, Bobby John, Fireball Roberts et Tiny Lund. La vitesse moyenne enregistrée lors de cet événement avait été de 135,521 mph.
Un bulletin NASCAR de la division Sportsman, regroupant toutes les pistes affiliées, tant au Canada qu’aux Etats-Unis, pour le championnat de 1959, démontre que Richard Foley était classé au 25e rang avec 1372 points sur un peloton de 145 coureurs. Il avait ainsi devancé, Dick Goodell, Waddington, NY(1362), Frank Hodge, Montréal, CAN (1292), Bobby Isaac, Newton, NC(1252), Buck Holliday, Waddington, NY (1224), Gilles Brochu, Montréal, CAN (1206), Ralph Earnhardt, Kannapolis, NC (1076), Ernie Reid, Massena, NY (994), Jimmy Thompson, Monroe, NC (758), Jean-Paul Cabana, Laprairie, CAN (854) et Bob Foley, Montréal, CAN (758).
Au printemps de 1959, Richard Foley père avait toujours en sa possession les plans de son fils Dick mais, après évaluation, il a modifié ceux-ci et a fait construire une piste d’un tiers de mille avec des courbes de seulement six degrés d’inclinaison. Vu que l’endroit était situé près de la Rivière des Prairies, il lui a donné le nom de Riverside Speedway. Le fait marquant de cette année d’ouverture fût, sans contredit, la présentation du Grand National NASCAR où, Richard a terminé l’épreuve en quatrième position et, après avoir vu les Américains, Rex White, Jim Reed et Dick Dickinson le priver d’une place sur le podium d’honneur. En plus d’être un participant plus que régulier au Riverside Speedway, Richard était également présent au Bouvrette Speedway de St-Jérôme, à l’autodrome Drummond ainsi qu’au Québec Modern Speedway.
Le 12 février 1960, Richard, au volant de sa Chevrolet 1959, avait ravi la 12e position à l’issue d’une épreuve de 100 milles lors d’un Grand National à Daytona. Il avait eu raison de pilotes chevronnés tel que : Buddy Baker, Dave Pearson, Red Farmer, Larry Frank Tiny Lund et Marvin Panch, dont le fils a couru plus tard dans la série ACT.
Un bulletin NASCAR de la division Sportsman, regroupant toutes les pistes affiliées, tant au Canada qu’aux Etats-Unis, pour le championnat de 1959, démontre que Richard Foley était classé au 25e rang avec 1372 points sur un peloton de 145 coureurs. Il avait ainsi devancé, Dick Goodell, Waddington, NY(1362), Frank Hodge, Montréal, CAN (1292), Bobby Isaac, Newton, NC(1252), Buck Holliday, Waddington, NY (1224), Gilles Brochu, Montréal, CAN (1206), Ralph Earnhardt, Kannapolis, NC (1076), Ernie Reid, Massena, NY (994), Jimmy Thompson, Monroe, NC (758), Jean-Paul Cabana, Laprairie, CAN (854) et Bob Foley, Montréal, CAN (758).
Au printemps de 1959, Richard Foley père avait toujours en sa possession les plans de son fils Dick mais, après évaluation, il a modifié ceux-ci et a fait construire une piste d’un tiers de mille avec des courbes de seulement six degrés d’inclinaison. Vu que l’endroit était situé près de la Rivière des Prairies, il lui a donné le nom de Riverside Speedway. Le fait marquant de cette année d’ouverture fût, sans contredit, la présentation du Grand National NASCAR où, Richard a terminé l’épreuve en quatrième position et, après avoir vu les Américains, Rex White, Jim Reed et Dick Dickinson le priver d’une place sur le podium d’honneur. En plus d’être un participant plus que régulier au Riverside Speedway, Richard était également présent au Bouvrette Speedway de St-Jérôme, à l’autodrome Drummond ainsi qu’au Québec Modern Speedway.
Le 12 février 1960, Richard, au volant de sa Chevrolet 1959, avait ravi la 12e position à l’issue d’une épreuve de 100 milles lors d’un Grand National à Daytona. Il avait eu raison de pilotes chevronnés tel que : Buddy Baker, Dave Pearson, Red Farmer, Larry Frank Tiny Lund et Marvin Panch, dont le fils a couru plus tard dans la série ACT.
Le 13 février 1960, au Daytona International Speedway, Richard a participé à la célèbre course de 250 milles regroupant 73 voitures composées de 22 de la classe sportsman et 51 de la classe modifiée. Dick au volant de sa Chevrolet 1957 portant le no: 66 était parti de la 16 position et avait entrepris une remontée lorsque, subitement en sortant de la courbe numéro quatre, sa voiture a dérapée dans le gazon. Richard a très bien manœuvré, a évité tous les obstacles et sans avoir touché à aucune voiture il est rentré aux puits de ravitaillement pour faire vérifier sa voiture. Ses poursuivants ont été moins chanceux car 37 voitures se sont tamponnées dans un carambolage monstre dont 24 très endommagées ont été dans l’impossibilité de revenir en piste et huit pilotes ont été transportés à l’hôpital, heureusement sans blessures graves. À la relance de l’épreuve notre valeureux pilote a dû repartir de la dernière position et a piloté d’une façon fort spectaculaire pour terminer au 10e rang du combiné des deux catégories, mais s’est classé bon troisième de la division Sportsman. Cette fameuse épreuve est passée à l’histoire pour avoir été le plus grand carambolage de l’histoire de NASCAR à ce jour. Un fait à noter le conducteur du véhicule de tête (pace car) était nul autre que Bill France.
NASCAR U.S. (Division Modifiée) de 1960, pour la course au championnat dont 134 pilotes étaient inscrit dans cette catégorie, on retrouve sur un pied d’égalité : les frères Dick et Bob Foley au 19e rang avec 1826 points chacun, suivi dans l’ordre des noms aussi célèbres que Red Farmer FLA. 1794 pts, Jimmy Thompson N.C. 1662 pts, Bubba Far Augusta C.A. 1514 pts, Lucien Champagne Laval Can. 1508 pts, Wally Dallenbach E.Brunswick N.J. 1364 pts.
Selon le bulletin de NASCAR U.S. du 15 octobre 1960, Richard a remporté son premier championnat de la classe modifiée au volant de son fameux Lucky Seven, au Bouvrette Speedway de St-Jérome. Il était suivi de Gilles Dutilly no : 80, Gérard Major F57, Frank Hodge avec son Mohawk Chief, Gilles Brochu B14, Bob Foley no : 11 et plusieurs autres. Toujours selon ce bulletin de la même année, Dick s’était classé en deuxième position du championnat au Drummond Speedway de Drummondville étant devancé par Gilles Dutilly, un grand champion de cette décennie.
NASCAR U.S. (Division Modifiée) de 1960, pour la course au championnat dont 134 pilotes étaient inscrit dans cette catégorie, on retrouve sur un pied d’égalité : les frères Dick et Bob Foley au 19e rang avec 1826 points chacun, suivi dans l’ordre des noms aussi célèbres que Red Farmer FLA. 1794 pts, Jimmy Thompson N.C. 1662 pts, Bubba Far Augusta C.A. 1514 pts, Lucien Champagne Laval Can. 1508 pts, Wally Dallenbach E.Brunswick N.J. 1364 pts.
Selon le bulletin de NASCAR U.S. du 15 octobre 1960, Richard a remporté son premier championnat de la classe modifiée au volant de son fameux Lucky Seven, au Bouvrette Speedway de St-Jérome. Il était suivi de Gilles Dutilly no : 80, Gérard Major F57, Frank Hodge avec son Mohawk Chief, Gilles Brochu B14, Bob Foley no : 11 et plusieurs autres. Toujours selon ce bulletin de la même année, Dick s’était classé en deuxième position du championnat au Drummond Speedway de Drummondville étant devancé par Gilles Dutilly, un grand champion de cette décennie.
En 1961, au volant de son Rebel Modifié, il a décroché le championnat du Québec Modern Speedway et celui du Riverside Speedway de Laval. Dû au fait qu’il a trois championnats à son crédit, Dick a remporté un nombre imposant de victoires et de positions avantageuses durant sa courte, mais brillante carrière. Ses résultats très impressionnants se retrouvent dans les archives de l’équipe Foley Motors Sport de l’époque. Durant cette même période, Dick au volant de sa Chevrolet 1936, identifiée par les lettres GM, s’est illustré en participant à plusieurs programmes de courses de la classe sportsman qui étaient présentés au Fury Speedway. Cet ovale d’un tiers de mille pavé était situé au coin du Boulevard Labelle et Dagenais à Fabreville, Laval. Cette piste a été démolie à l’automne 1963.
Au printemps 1962, Richard s’est retiré de la compétition comme pilote mais, avec l’expérience qu’il avait acquise lors de ses participations sur le légendaire ovale de Daytona, Dick voulait sortir des sentiers battus et améliorer les conditions du stock car québécois, surtout du côté sécurité des pilotes et à l’embellissement des voitures. Il a contacté son ami, le journaliste Pierre Gorse, pour former une association. Ils ont mis sur pied L’ I.A.R.A. « International Auto Racing Association ». Presque la totalité des pilotes actifs de l’époque ont accepté de se joindre à cette association. Après quelques séances d’information, les courses ont débuté, mais durant la saison Richard n’était pas entièrement satisfait de la collaboration de certains pilotes à s’adapter aux nouveaux règlements, et, voyant le manque d’intérêt de leur part, Richard et Pierre ont dû mettre un terme à cette association. En 1963 Dick est retourné à son emploi comme spéculateur en développement immobilier
En sabbatique pendant quatre ans, voilà qu’en 1967, un mécanicien du nom de Dick Marks qui demeurait à Hemmingford près du poste frontalier de Lacolle, a proposé à Richard d’acheter une Chevrolet 1955 qui était montée pour la course, et pratiquement prête à mettre sur la piste, tout ceci accompagné d’un prix dérisoire. Dick a acheté cette voiture et l’a préparée, comme lui seul en était capable. et l’a inscrite dans la course de 50 tours, le samedi 26 août, au Riverside Speedway de Laval. Il en est sorti le grand vainqueur. Pour prouver que cette belle victoire n’était pas le fruit du hasard Dick s’est présenté le samedi suivant soit le 2 septembre 1967 avec cette voiture Chevrolet 1955 portant le no : 88 au Québec Modern Speedway ou régnait en maître, un groupe de pilotes, qui défendaient chèrement leurs couleurs, avec les frères Lessard en tête, dont Jack en particulier. Comme Richard avait déjà remporté un championnat sur ce tracé asphalté d’un tiers de mille, il n’a eu aucune difficulté à prouver qu’il était encore de calibre, en se méritant deux victoires sur trois, dont l’une dans l’épreuve principale. À la fin de la soirée Dick a eu une grande surprise lorsque René Buissière, un des copropriétaires de la piste, lui a offert d’acheter cette voiture. Le prix n’a jamais été dévoilé mais chose certaine Dick n’a pas refusé cette offre.
Deuxième association
De retour au stock-car à l’automne 1968, c’est à titre de promoteur, qu’il avait décidé d’œuvrer. Richard a rencontré Anatole Lavoie, qui était propriétaire et promoteur du Sportsman Speedway de St-Eustache, un ovale asphalté de quatre dixièmes de mille. situé sur la route 148, dans les limites de la ville de St-Eustache. Il y a eu entente entre les deux parties et Richard avait même offert d’acheter le tracé. Dû au fait que le stock-car n’était pas à son plus haut niveau durant les années ’60 sur les pistes de bitume au Québec, plusieurs excellents pilotes avaient opté pour faire campagne en sol américain. Voyant cette situation plutôt alarmante, Richard a voulu, une fois de plus, regrouper tous les pilotes disponibles en fondant à nouveau, une association.
Avec l’expérience déjà vécue lorsqu’il avait été président de l’association I.A.R.A. en 1962, notre bon ami ne voulait pas rater cette nouvelle occasion. Il a fondé NASCAR Québec au printemps de 1969 avec des collaborateurs expérimentés. Il a su intéresser le journaliste et chef de pupitre Yvon Larrivée, du Journal de Montréal, comme inspecteur technique, Hazel Émond a été nommée secrétaire-trésorière, Annette Émond marqueuse officielle et Albert Émond, en tant que commissaire. La saison a débuté comme prévue et tous les effectifs étaient en place. Sur un calendrier de 10 programmes, qui avaient été annoncés, huit ont été annulés ou remis à cause de la mauvaise température. Dick avait dépensé une petite fortune en annonces et structuration. Il a donc dû renoncer, une fois de plus, à cette nouvelle aventure. Il a transféré son titre de Président de NASCAR Québec à Lucien Dulude, un populaire pilote de la classe sportsman des années 60-70, par la suite Richard a réglé tous ses différents avec Anatole Lavoie et une bonne poignée de main s’en est suivie. Richard a décidé de prendre sa retraite du monde du stock car.
Au printemps 1962, Richard s’est retiré de la compétition comme pilote mais, avec l’expérience qu’il avait acquise lors de ses participations sur le légendaire ovale de Daytona, Dick voulait sortir des sentiers battus et améliorer les conditions du stock car québécois, surtout du côté sécurité des pilotes et à l’embellissement des voitures. Il a contacté son ami, le journaliste Pierre Gorse, pour former une association. Ils ont mis sur pied L’ I.A.R.A. « International Auto Racing Association ». Presque la totalité des pilotes actifs de l’époque ont accepté de se joindre à cette association. Après quelques séances d’information, les courses ont débuté, mais durant la saison Richard n’était pas entièrement satisfait de la collaboration de certains pilotes à s’adapter aux nouveaux règlements, et, voyant le manque d’intérêt de leur part, Richard et Pierre ont dû mettre un terme à cette association. En 1963 Dick est retourné à son emploi comme spéculateur en développement immobilier
En sabbatique pendant quatre ans, voilà qu’en 1967, un mécanicien du nom de Dick Marks qui demeurait à Hemmingford près du poste frontalier de Lacolle, a proposé à Richard d’acheter une Chevrolet 1955 qui était montée pour la course, et pratiquement prête à mettre sur la piste, tout ceci accompagné d’un prix dérisoire. Dick a acheté cette voiture et l’a préparée, comme lui seul en était capable. et l’a inscrite dans la course de 50 tours, le samedi 26 août, au Riverside Speedway de Laval. Il en est sorti le grand vainqueur. Pour prouver que cette belle victoire n’était pas le fruit du hasard Dick s’est présenté le samedi suivant soit le 2 septembre 1967 avec cette voiture Chevrolet 1955 portant le no : 88 au Québec Modern Speedway ou régnait en maître, un groupe de pilotes, qui défendaient chèrement leurs couleurs, avec les frères Lessard en tête, dont Jack en particulier. Comme Richard avait déjà remporté un championnat sur ce tracé asphalté d’un tiers de mille, il n’a eu aucune difficulté à prouver qu’il était encore de calibre, en se méritant deux victoires sur trois, dont l’une dans l’épreuve principale. À la fin de la soirée Dick a eu une grande surprise lorsque René Buissière, un des copropriétaires de la piste, lui a offert d’acheter cette voiture. Le prix n’a jamais été dévoilé mais chose certaine Dick n’a pas refusé cette offre.
Deuxième association
De retour au stock-car à l’automne 1968, c’est à titre de promoteur, qu’il avait décidé d’œuvrer. Richard a rencontré Anatole Lavoie, qui était propriétaire et promoteur du Sportsman Speedway de St-Eustache, un ovale asphalté de quatre dixièmes de mille. situé sur la route 148, dans les limites de la ville de St-Eustache. Il y a eu entente entre les deux parties et Richard avait même offert d’acheter le tracé. Dû au fait que le stock-car n’était pas à son plus haut niveau durant les années ’60 sur les pistes de bitume au Québec, plusieurs excellents pilotes avaient opté pour faire campagne en sol américain. Voyant cette situation plutôt alarmante, Richard a voulu, une fois de plus, regrouper tous les pilotes disponibles en fondant à nouveau, une association.
Avec l’expérience déjà vécue lorsqu’il avait été président de l’association I.A.R.A. en 1962, notre bon ami ne voulait pas rater cette nouvelle occasion. Il a fondé NASCAR Québec au printemps de 1969 avec des collaborateurs expérimentés. Il a su intéresser le journaliste et chef de pupitre Yvon Larrivée, du Journal de Montréal, comme inspecteur technique, Hazel Émond a été nommée secrétaire-trésorière, Annette Émond marqueuse officielle et Albert Émond, en tant que commissaire. La saison a débuté comme prévue et tous les effectifs étaient en place. Sur un calendrier de 10 programmes, qui avaient été annoncés, huit ont été annulés ou remis à cause de la mauvaise température. Dick avait dépensé une petite fortune en annonces et structuration. Il a donc dû renoncer, une fois de plus, à cette nouvelle aventure. Il a transféré son titre de Président de NASCAR Québec à Lucien Dulude, un populaire pilote de la classe sportsman des années 60-70, par la suite Richard a réglé tous ses différents avec Anatole Lavoie et une bonne poignée de main s’en est suivie. Richard a décidé de prendre sa retraite du monde du stock car.
Absent depuis plusieurs décennies du sport motorisé, Richard nous est revenu en 2002 lorsque son neveu Danny, le fils de son frère Bob, a demandé à son oncle Dick de le financer pour l’achat d’une Chevrolet Monte Carlo 1999 qui appartenait à l’homme d’affaire des plus respectable Robin Larivière, un inconditionnel du monde du stock car. Ce véhicule avait été construit par le spécialiste ontarien Peter Shotanis et piloté par le renommé pilote Jocelyn Laliberté, dans la série CASCAR, durant deux saisons. Comme le feu sacré ne s’éteint jamais, Richard a acquiescé à la demande de son neveu, étant donné que celui-ci avait connu de très bons résultats au volant de sa Légende Modifiée durant les quatre dernières saisons. Danny a débuté la saison avec ce nouveau bolide identifié par le no:12 et la chance lui a souri car il a connu une très bonne saison. Selon la rétrospective ANCA d’Yves Ladouceur de la saison 2002, Danny a terminé au septième rang du classement général et il a été également proclamé la Recrue de l’année de la série CASCAR sportsman. Mais, sans commanditaires sérieux dans une série aussi professionnelle, Danny a dû se résigner à l’abandon et a été obligé de remiser la voiture sur la ferme de son oncle Richard à Alexandria, Ont
Faisant suite à un dîner au restaurant La Stanza de ville d’Anjou, au printemps 2004, Richard a exprimé à son vieil ami de longue date, Yvon Vannini, son intention de revenir dans le feu de l’action. Il était particulièrement intéressé par la nouvelle série NASCAR Dodge Weekly qui serait présentée exclusivement par nul autre que le promoteur Claude Aubin de l’Autodrome St-Eustache. Il était surtout attiré par la structure, et tous les avantages que présentait cette organisation, étant donné la belle expérience vécue avec NASCAR de 1957 à 1960 au Daytona Super Speedway. Puis, ce fut le coup d’envol d’une nouvelle aventure.
En avril 2004, Richard s’est porté acquéreur de la Ford Taurus 1997 de Curtis Fielding qui avait été préparée par le constructeur ontarien, Mike McColl. Cette voiture avait déjà été pilotés par le réputé Dave Withlock. Il s’est associé à Yvon Vannini et Jean Tremblay pour former à nouveau l’équipe Foley Motorsports. Tel que prévu, le volant a été confié à Hugo Vannini qui défendrait les couleurs de l’équipe en arborant le numéro 88 en souvenir de l’Acadian Beaumont avec laquelle Dick avait connu tant de succès dans les années 60.
Dès le début du calendrier, Hugo n’a pas déçu ses supporteurs, réalisant de très bons chronos pour un débutant. Un fait marquant, il a terminé en 13e position dans le fameux St-Eustache 500, même s’il devait croisé le fer avec des pilotes de la trempe des Allard, Beauchamp, Bergeron, Lacombe, Laperle, Leclerc et D.J.Kennington, qui a été le vainqueur de cette épreuve de longue haleine, qui pour la circonstance, s’était vu confier le bolide no :12 de Stéphane Bouchard.
La saison avait été très satisfaisante pour tous les membres de l’équipe Foley Motors sports, mais au terme de celle-ci, une grosse déception les attendaient, la classe sportsman avait été supprimée et remplacée par la NASCAR Dodge Weekly series Pro-Truck Cummins, alimenté par Pierre Archambault et son patron Ron Auclair. Donc tout était à recommencer et, devant cette réalité, Richard s’est retiré en gentleman en laissant tout l’équipement au duo Vannini-Tremblay et est demeuré membre honoraire, pour avoir ainsi plus de temps à consacrer à sa première épouse Élizabeth qui éprouvait de sérieux problèmes de santé. Effectivement, faisant suite à une longue maladie, Liz est décédée, le 5 mars 2006, laissant dans le deuil Richard et leur fille unique Linda.
En 2006, deux personnalités avantageusement connues dans le monde du stock-car, Jean-Paul Cabana et Yvon Vannini ont eu l’information à l’effet que Denis Lachance voulait céder ses intérêts concernant le circuit Ste-Croix, situé dans le comté de Lotbinière. Ils en on fait part à Richard, un homme d’affaire averti, qui a aussitôt formé un panel de neuf personnes, dont son avocat Me Guy Guérard, pour étudier de plus près ce projet d’acquisition. Yvon a raconté qu’ils ont fait toutes les démarches nécessaires possibles pour mettre ce dossier à jour.
En avril 2004, Richard s’est porté acquéreur de la Ford Taurus 1997 de Curtis Fielding qui avait été préparée par le constructeur ontarien, Mike McColl. Cette voiture avait déjà été pilotés par le réputé Dave Withlock. Il s’est associé à Yvon Vannini et Jean Tremblay pour former à nouveau l’équipe Foley Motorsports. Tel que prévu, le volant a été confié à Hugo Vannini qui défendrait les couleurs de l’équipe en arborant le numéro 88 en souvenir de l’Acadian Beaumont avec laquelle Dick avait connu tant de succès dans les années 60.
Dès le début du calendrier, Hugo n’a pas déçu ses supporteurs, réalisant de très bons chronos pour un débutant. Un fait marquant, il a terminé en 13e position dans le fameux St-Eustache 500, même s’il devait croisé le fer avec des pilotes de la trempe des Allard, Beauchamp, Bergeron, Lacombe, Laperle, Leclerc et D.J.Kennington, qui a été le vainqueur de cette épreuve de longue haleine, qui pour la circonstance, s’était vu confier le bolide no :12 de Stéphane Bouchard.
La saison avait été très satisfaisante pour tous les membres de l’équipe Foley Motors sports, mais au terme de celle-ci, une grosse déception les attendaient, la classe sportsman avait été supprimée et remplacée par la NASCAR Dodge Weekly series Pro-Truck Cummins, alimenté par Pierre Archambault et son patron Ron Auclair. Donc tout était à recommencer et, devant cette réalité, Richard s’est retiré en gentleman en laissant tout l’équipement au duo Vannini-Tremblay et est demeuré membre honoraire, pour avoir ainsi plus de temps à consacrer à sa première épouse Élizabeth qui éprouvait de sérieux problèmes de santé. Effectivement, faisant suite à une longue maladie, Liz est décédée, le 5 mars 2006, laissant dans le deuil Richard et leur fille unique Linda.
En 2006, deux personnalités avantageusement connues dans le monde du stock-car, Jean-Paul Cabana et Yvon Vannini ont eu l’information à l’effet que Denis Lachance voulait céder ses intérêts concernant le circuit Ste-Croix, situé dans le comté de Lotbinière. Ils en on fait part à Richard, un homme d’affaire averti, qui a aussitôt formé un panel de neuf personnes, dont son avocat Me Guy Guérard, pour étudier de plus près ce projet d’acquisition. Yvon a raconté qu’ils ont fait toutes les démarches nécessaires possibles pour mettre ce dossier à jour.
Après plus de deux ans de recherches, échange de courrier, négociations, offres d’achat et débats juridiques, ils en sont venus à une entente qui s’est soldée par un compromis acceptable pour les parties impliquées. Richard est donc devenu l’acquéreur du circuit, mais n’avait pas l’intention d’en devenir le promoteur. Il voulait plutôt s’associer avec un ou des partenaires sérieux. Il a été comblé en s’associant avec deux de ses bons amis, les frères Jean et Guillaume Bergeron. Ceux-ci, par respect et amitié pour la légendaire famille Foley, ont décidé de rebaptiser le circuit Ste-Croix ¨Riverside Speedway¨ en l’honneur de Richard A. Foley sr. décédé le 19 novembre 1983, le grand bâtisseur du fameux Riverside Speedway de Laval. Aujourd’hui les frères Bergeron sont en train d’en faire l’un des plus beaux sites naturels du Québec.
Après un respectueux veuvage de trois ans, Dick a rencontré celle qui deviendra sa deuxième épouse, Éva. Elle était interprète pour des procès et meeting d’hommes d’affaires. Elle maîtrise sept langues et en parle couramment cinq. En plus d’être à la tête d’une agence de voyage, Éva avait toutes les qualités qui plaisaient à Richard alors il n’a pas hésité à marier sa jolie petite polonaise en Floride, le 27 mars 2009.
Après un respectueux veuvage de trois ans, Dick a rencontré celle qui deviendra sa deuxième épouse, Éva. Elle était interprète pour des procès et meeting d’hommes d’affaires. Elle maîtrise sept langues et en parle couramment cinq. En plus d’être à la tête d’une agence de voyage, Éva avait toutes les qualités qui plaisaient à Richard alors il n’a pas hésité à marier sa jolie petite polonaise en Floride, le 27 mars 2009.
Le 14 août 2010, à l’occasion du 40e anniversaire de ce site pittoresque, les frères Jean et Guillaume Bergeron ont décidé d’honorer Richard en lui demandant d’agir en tant que ¨Grand Commissaire¨ pour la première édition de la Can-Am 200 de l’American Canadian Tour (ACT). Cette épreuve, la seule au Québec, regroupait les meilleurs pilotes de la série québécoise ACT Castrol et l’élite des coureurs américains de la même organisation. Tous les pilotes étaient potentiellement de calibre pour monter sur la plus haute marche du podium. Une foule record a assisté à la victoire de Brian Hoar, un pilote américain de l’état du Vermont.
Cependant à cause du règlement concernant le couvre-feu, les deux directeurs, Tom Curley de l’ACT et Sylvain Brouillette du Riverside Speedway, ont dû mettre fin à cette confrontation aux 171 tours à cause d’un sérieux accrochage impliquant plusieurs voitures ce qui aurait certainement dépassé le temps disponible afin de nettoyer la piste et replacer les bolides pour une nouvelle relance.
Cependant à cause du règlement concernant le couvre-feu, les deux directeurs, Tom Curley de l’ACT et Sylvain Brouillette du Riverside Speedway, ont dû mettre fin à cette confrontation aux 171 tours à cause d’un sérieux accrochage impliquant plusieurs voitures ce qui aurait certainement dépassé le temps disponible afin de nettoyer la piste et replacer les bolides pour une nouvelle relance.
Également, durant cette mémorable soirée, des pionniers du stock-car avaient été invités, présentés et interviewés par nul autre que le légendaire Jean-Paul Cabana qui agissait comme maître de cérémonie.
En 2011 après plus de 50 ans, notre valeureux pilote est retourné en piste à Daytona. Effectivement, lundi le 14 février 2011, on a retrouvé Richard accompagné de son épouse Éva à bord de leur luxueux motorise, stationné à l’intérieur du tri-ovale du Daytona International Speedway. Le couple Foley a été chaleureusement accueilli par nul autre qu’ Andrew Giongola, le relationniste et attaché de presse de NASCAR. Ce dernier leur a réservé une semaine fort occupée.
Mardi le 15 février, le trio a visité toutes les installations du complexe. Mercredi, Richard a été invité à piloter la voiture de Richard Petty. Il a fait huit tours de piste à une vitesse moyenne de 141 mph. Il aurait aimé rouler plus rapidement, mais il avait une consigne à respecter. Jeudi les voitures et leurs pilotes étant arrivés dans les puits de ravitaillements, Dick et Éva en ont profité pour visiter les équipes. Le lendemain, le couple Foley s’est retrouvé à l’endroit où sont conservés toutes les archives de l’histoire de NASCAR. Dick n’en croyait pas ses yeux de revoir, bien conservés, ses photos et communiqués de presse relatant dans les moindres détails tout ce qu’il avait réalisé de 1957 à 1960 au Daytona Super Speedway. Pour terminer cette mémorable semaine, nos deux passionnés ont assisté aux qualifications, et, le Dimanche 20 février à la 53e édition du Daytona 500 qui a été remporté par Trevor Bayne au volant de la Ford no : 21. Ce jeune homme de 20 ans a établi un nouveau record, en étant le plus jeune pilote à avoir réalisé cet exploit à ce jour.
Également en 2011, Yvon Larrivée, un ancien journaliste maintenant relationniste dans le domaine des sports motorisés, a suggéré au promoteur François Dumontier d’honorer Richard au Circuit Gilles Villeneuve de l’île Notre-Dame le 20 août à l’occasion du NAPA Autopro 100 de la série Nascar Canadian Tire. En précisant les prouesses effectuées par Richard, 50 ans auparavant sur l’historique tracé de Daytona, monsieur Dumontier s’est montré très intéressé et il a aussitôt transféré le dossier à son relationniste et attaché de presse, Normand Prieur. Ce dernier, après avoir vérifié toutes les formalités, a invité notre valeureux pilote retraité à monter sur la passerelle départ arrivée et à prononcer la traditionnelle phrase «Gentlemen, start your engine». et par la suite, agiter le drapeau vert comme signaleur honoraire de cet événement. Il fut également invité en compagnie de son épouse, Eva, au salon VIP, pour rejoindre plusieurs autres invités de marque. Cette course a été remporté haut la main par nul autre que notre grande vedette québécoise, Andrew Ranger.
Mardi le 15 février, le trio a visité toutes les installations du complexe. Mercredi, Richard a été invité à piloter la voiture de Richard Petty. Il a fait huit tours de piste à une vitesse moyenne de 141 mph. Il aurait aimé rouler plus rapidement, mais il avait une consigne à respecter. Jeudi les voitures et leurs pilotes étant arrivés dans les puits de ravitaillements, Dick et Éva en ont profité pour visiter les équipes. Le lendemain, le couple Foley s’est retrouvé à l’endroit où sont conservés toutes les archives de l’histoire de NASCAR. Dick n’en croyait pas ses yeux de revoir, bien conservés, ses photos et communiqués de presse relatant dans les moindres détails tout ce qu’il avait réalisé de 1957 à 1960 au Daytona Super Speedway. Pour terminer cette mémorable semaine, nos deux passionnés ont assisté aux qualifications, et, le Dimanche 20 février à la 53e édition du Daytona 500 qui a été remporté par Trevor Bayne au volant de la Ford no : 21. Ce jeune homme de 20 ans a établi un nouveau record, en étant le plus jeune pilote à avoir réalisé cet exploit à ce jour.
Également en 2011, Yvon Larrivée, un ancien journaliste maintenant relationniste dans le domaine des sports motorisés, a suggéré au promoteur François Dumontier d’honorer Richard au Circuit Gilles Villeneuve de l’île Notre-Dame le 20 août à l’occasion du NAPA Autopro 100 de la série Nascar Canadian Tire. En précisant les prouesses effectuées par Richard, 50 ans auparavant sur l’historique tracé de Daytona, monsieur Dumontier s’est montré très intéressé et il a aussitôt transféré le dossier à son relationniste et attaché de presse, Normand Prieur. Ce dernier, après avoir vérifié toutes les formalités, a invité notre valeureux pilote retraité à monter sur la passerelle départ arrivée et à prononcer la traditionnelle phrase «Gentlemen, start your engine». et par la suite, agiter le drapeau vert comme signaleur honoraire de cet événement. Il fut également invité en compagnie de son épouse, Eva, au salon VIP, pour rejoindre plusieurs autres invités de marque. Cette course a été remporté haut la main par nul autre que notre grande vedette québécoise, Andrew Ranger.
En décembre 2011, le journaliste Norris Mc Donald, éditeur en chef du Toronto Star, a téléphoné à Richard pour lui confirmer qu’il serait intronisé au « Canadian Motorsport Hall of Fame », en même temps que Michael Andretti qui est reconnu au niveau international. Richard rejoint les Don Biederman, Jean-Paul Cabana, Yvon Duhamel, Jacques Duval, Junior Henley Alan Labrosse pour trois distinctions (auto, moto et agent bâtisseur) Richard Spénard, ainsi que les frères Jacques et Gilles Villeneuve.
À Toronto, le samedi 21 avril 2012, au-delà de 300 convives ont assisté à cette mémorable soirée où Richard a reçu une belle plaque souvenir. Cette magnifique récompense lui a été attribuée pour plus d’une raison. Premièrement le fait d’avoir été le premier et le seul canadien à avoir participé à la première édition que les américains ont surnommée « The Great American Race », ainsi que d’avoir été celui qui a déclenché, sans toucher à aucune voiture, le plus grand carambolage de l’histoire de NASCAR à ce jour. Les américains l’on qualifié « The Big One ». Finalement, pour ses championnats qu’il s’était mérité sur nos pistes québécoises. Richard était accompagné de son épouse Éva, sa fille Lynda, sa sœur Sylvia, son neveu Dany et son épouse Johanne, Me Guy Guérard et son épouse Liliane, la famille Vannini ,Yvon et son épouse Andrée, leur fils Hugo et leur fille Catherine, Jean Tremblay et son épouse Arlette ainsi que Jean et Guillaume Bergeron, ses partenaires du Riverside Speedway.
La Conclusion
Richard avait sa façon bien à lui pour piloter une voiture de course. Il faisait tout calmement et était rarement impliqué dans des accrochages dont il était le responsable, tout comme dans sa vie privé. Il a toujours prôné qu’il n’est pas nécessaire de parler à tue-tête afin d’être mieux compris.
La Conclusion
Richard avait sa façon bien à lui pour piloter une voiture de course. Il faisait tout calmement et était rarement impliqué dans des accrochages dont il était le responsable, tout comme dans sa vie privé. Il a toujours prôné qu’il n’est pas nécessaire de parler à tue-tête afin d’être mieux compris.
Richard et son épouse Éva sont retraités depuis plusieurs années déjà et passent leur hiver à leur luxueuse résidence de Jupiter en Floride. Ils nous reviennent pour les belles journées d’été à leur domaine du West Island. Ils affectionnent des sorties sur le fleuve avec leur bateau Christ Craft de 70 pieds amarré au vieux port de Montréal. Richard aime collectionner des voitures antiques, et a toujours en force sa licence de pilote d’avion. Bref il n’y a absolument rien à son épreuve.
Texte et recherche
Gérard Major
Collaborateurs
Éva Foley, Yves Ladouceur , Yvon Larrivée, Yvon Vannini
Edité en février 2014.
Texte et recherche
Gérard Major
Collaborateurs
Éva Foley, Yves Ladouceur , Yvon Larrivée, Yvon Vannini
Edité en février 2014.